Elle n’épousera ni son père, ni le copain de maman
- Edna Leslie
- il y a 5 jours
- 1 min de lecture
Derrière l’hypergamie des femmes transclasses : stratégie, mémoire familiale et désir d’équité réelle

Elle a grandi dans un foyer modeste.
Elle a vu sa mère tout porter. Tout excuser. Tout endurer.
À ses côtés ?
Un homme souvent absent, parfois trop présent.
Autoritaire, fuyant, ou tout simplement épuisé.
Alors elle s’est promis :
« Moi, je ne vivrai pas ça.
Je réussirai.
Je m’élèverai. Et je n’épouserai pas un homme qui me ralentit.”
Et elle l’a fait.
Elle s’est battue.
Elle a gravi les échelons.
Elle a cultivé son élégance, sa liberté, sa conscience.
Mais dans l’intime… elle se méfie.
Elle doute.
Elle se protège, parfois même en se réfugiant dans le célibat.
Par peur de redescendre.
Par peur de répéter les schémas.
Par peur de “choisir comme maman”.
Mais si la solution, ce n’était pas la fuite… mais l’élévation ?
Ce qu’on appelle hypergamie n’est pas “chercher un homme riche”.
C’est souvent :
→ une mise à jour des standards amoureux
→ une exigence légitime d’alignement émotionnel, social et symbolique
Elle ne veut plus d’un “père à sauver”.
Elle ne veut plus d’un “copain de maman” à supporter.
Elle veut un partenaire cohérent avec ce qu’elle est devenue.
Dans la prochaine édition de Duchess Academy, tu découvriras :
• Pourquoi fuir les hommes, est souvent une fuite en avant
• Comment l’hypergamie, bien comprise, peut être un acte d’amour de selfcare
• Pourquoi “construire ensemble” est un mythe… quand on n’a pas les mêmes fondations
• Ce que veut dire aimer à la hauteur de sa vie (et non de son passé)
• Comment défendre ses standards sans culpabilité… ni arrogance
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